dimanche 11 août 2013

Ecriture et corrections


Tous les auteurs vous le diront, avec la page blanche, leur pire ennemi est la procrastination, et rien n’incite plus à procrastiner que d’être chez soi, où il y aura toujours d’autres choses à faire ou des distractions bien tentantes (les accros à Internet me comprendront !).

Donc, ma méthode la plus efficace pour être sûre de ne pas céder à la tentation de faire autre chose que d’écrire ou corriger mon texte, c’est d’aller travailler dans un endroit où je serai obligée de m’y mettre, puisqu’il n’y aura ni Internet, ni télévision ou quoi que ce soit d’autre pour me distraire !
Et pour ça, j’ai quelques endroits de prédilection où je sais que je serai tranquille pour avancer sur mes textes, une salle de bibliothèque ou les cafés de mes musées préférés, où je peux en même temps boire un verre ou savourer une douceur (il faut bien du carburant pour écrire, l’inspiration ne suffit pas).

Et si vous vous demandez à quoi peut ressembler le brouillon d’un écrivain qui retravaille des chapitres déjà écrits (j’avais avancé environ les deux tiers du tome 2 avant de publier le tome 1 de « La Septième Prophétie », maintenant je suis en train de les réécrire pour coller aux dernières modifications apportées au tome 1), en voilà un exemple (vous constaterez que le rouge est ma couleur préférée) :




Comme quoi un texte n’est jamais figé, à chaque fois que je repasse sur une page, j’ai envie d’y apporter des modifications (là j’avoue, sur cette page-là, j’ai fait assez fort quand même…)
Et encore, je pense que quand j’y repasserai à ma prochaine relecture, elle aura droit à de nouvelles corrections !

Résultat final dans quelques mois !

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